Tuesday, April 27, 2010

Question pour une Franco-- apres

Les journaux comme le Press Herald et le New York Times ont parlé de la renaissance du français dans le Maine. Jusqu'à quel point est-ce que vous etes consciente de cette renaissance? Quelles en sont des indices? Est-ce que c'est partout dans l'état où plutôt concentrée sur les régions spécifiques? Aussi, est-ce que cette renaissance s'adresse à une génération spécifique?

La response pour cette question était plus ou moins ce que j'ai attendu... La renaissance n'est pas quelquechose de toute la communauté, mais plutot quelque chose entre les individus et les petits communautés. Je l'ai trouvé interessant qu'il n'y avait pas vraiment mention des autres indices qui sont evidentes à moi comme Mainer, comme l'immergence des écoles francaises dans le sud du Maine.


Comment est-ce que la population franco-americaine s'est ressentie l'élection du Mike Michaud comme un membre du Congrès en 2003? Est-ce que cela a encouragé les autres (surtout les vieux) à dévoiler une identité autrement cachée? A votre avis, comment est-ce que cette événement se lie à la renaissiance et de la fierté retrouvée de l'identité franco-americaine?

Les reponses de Susan ont soutenu l'identité franco-americaine en ce qui concerne une identité biculturelle et pas tout simplement bilingue. Je pense ce c'est une distinction tres importante pour la perpetuation de la communauté franco en tant qu'elle est aujourd'hui. Malgré la disparition de la langue francaise, ceci ne veut pas dire que la culture a totalement disparu. Il existe toujours les affirmations de l'identité franco- dans la facon de s'habiller, de faire la menage, l'importance de la famille, de la nourriture, etc. Je trouve ces points de reunion tres importants pour cette communauté, parce qu'ils indiquent un autre existence qui peuvent toujours s'affirmer meme dans l'absence d'une langue.

Tuesday, April 20, 2010

Questions pour une Franco-Americaine

Les journaux comme le Press Herald et le New York Times ont parlé de la renaissance du français dans le Maine. Jusqu'à quel point est-ce que vous etes consciente de cette renaissance? Quelles en sont des indices? Est-ce que c'est partout dans l'état où plutôt concentrée sur les régions spécifiques? Aussi, est-ce que cette renaissance s'adresse à une génération spécifique?

Comment est-ce que la population franco-americaine s'est ressentie l'élection du Mike Michaud comme un membre du Congrès en 2003? Est-ce que cela a encouragé les autres (surtout les vieux) à dévoiler une identité autrement cachée? A votre avis, comment est-ce que cette événement se lie à la renaissiance et de la fierté retrouvée de l'identité franco-americaine?

Tuesday, April 13, 2010

Deux Femmes Deux Reves

Je pense que l’évolution de la mentalité et la perspective franco-américaines est très intéressante à analyser. Pour la première génération, le but de la vie était la vie elle même : tout ce qu’on espérait à atteindre être la survivance. Pour cette raison, les valeurs de la famille, la langue, et la religion sont devenues centrales à la vie franco-américaine.

Aurelien n’a pas eu les vrais rêves au-delà du besoin de faire vivre sa famille. Il travaillait pour supporter sa famille et en raison de la instabilité économique, il a fallu se déménager encore et encore. Il chassait toujours quelquechose d’autre, toujours attendant les choses de la future, et jamais appréciant le présent. Sa femme, Eglantine se définissait par sa famille : les siens étaient le centre de son existence. Elle englobe la « résignation à la franco-américaine, » disant que c’est le rôle de la femme de suivre son mari. Ceci montre les notions anciennes de la société patriarche. Comme son mari, Eglantine préférait à vivre au passé, dans une meilleure vie, avant que ses rêves ne se soient jamais réalisés. Elle chérissait vraiment le passé et l’histoire. Elle voulait le préserver pour ses enfants, elle voulait faire figé le passage du temps et évolution de la société. Surtout, elle voulait que ses enfants ne le quittent jamais.

La deuxième génération crée une nouvelle identité franco-américaine. Le but de la vie n’était plus seulement la survivance. Il fallait fleurir dans la vie grâce à ses propres actions. Comme Rose Aimée a dit, les nouveaux franco-américains contrôlaient leur destin. Ils ne se résignaient pas à leur sort, mais ils bâtissaient une vie pour eux-mêmes. Rose-Aimée voulait toujours quelque chose d’autre, elle n’acceptait pas le statuquo. Comme telle, elle encourageait aux autres de saisir la vie aussi. Elle voulait travailler pour affirmer son autonomie : elle ne se définirait pas par personne d’autre. Elle encourageait aux autres de profiter de la vie, de prendre les risques, de beaucoup s’amuser. Par conséquent, Emerie a cherché un travail qui ne lui permettait pas seulement de survivre, mais de vivre à la nouvelle sens du terme : il faut faire quelque chose de son vie qui lui plait. Rose-Aimée est enraciné dans le présent, agissant pour accomplir ses rêves. Comme elle dit, son rêve est « de vivre pleinement, les yeux clairs et la tête dans la vent » (250).

Rose-Aimée réfléchissait à l’évolution de l’identité de son peuple : « elle voyait les siens grandir fiers et heureux. Pourtant, chaque nouvelle génération grandirait avec un peu plus de bonheur, un peu plus de succès. Les peines et les revers surmontés par les générations précédentes assurément porteraient leur fruits « (251).