Sunday, March 21, 2010

Les Franco-Americains

1) Comment est-ce que les Petits Canada (et les communautes franco-americaines aujourd'hui) semblent similaires aux communautes cadiennes en Louisiane (formation, histoire, raisons pour l'immigration, statut de la langue francaise, etc) ?
2) En quoi sont-ils uniquement "franco-americains" (et ainsi differents des Cadiens) ? Quelle est la situation de la langue francaise aujourd'hui dans les commuanutes franco-americaines ?



Contraire à la communauté cadienne, la migration des Québécois vers la Nouvelle Angleterre a été précipitée par le libre arbitre—ils ont pris la choix de s’y déménager pour profiter du secteur industriel. Au cause de fait que les acadiens n’ont pas eu un choix, ils ont mieux s’habituer à la nouvelle région : la culture et les traditions se sont changés pour mieux refléter le milieu. Surtout, le changement du nom reflète ce fait : ils sont devenus les Cadiens, ils n’étaient plus les Acadiens. Quoiqu’ils aient exalté le passé idéal, ils profitent du présent aussi.

Cependant, la communauté franco-américaine ne montrait pas l’évolution culturelle dans la même largeur. La différence clé est dans l’idée du choix : au cause de fait que les Québécois ont décidé de se déplacer, ils pouvaient toujours garder ce lien et revenir. Grace à ce lien fort avec le pays natal, la communauté franco-américaine n’a pas changé autant que la communauté cadienne.

Même s’ils habitaient en Nouvelle Angleterre, les Franco-Américains concevaient de cette nouvelle terre comme « les Petits Canadas » et ils ont gardé le patrimoine et la patriotisme pour le Canada. Comme les Cadiens, les F-A utilisaient la langue pour se relier au passé. En fait, la langue était le fil qui unissait tous les aspects de l’identité : « qui perd sa langue, perd sa foi ». La langue était cruciale pour la Survivance. Comme les Cadiens, cette langue n’était pas « le français standard », c’était vue plutôt comme un patois, moins rendant les F-A au dernier rang parmi les autres francophones.

Ces jugements n’ont pas arrêté aves les francophones-- ils étaient évidents partout parmi la société en Nouvelle Angleterre. Comme les communautés cadiennes, les franco-americaines en Nouvelle Angleterre ont du subir à la majorité américaine anglophone. Cependant, la façon dont cela s’est passé a été très différente. Dans la société cadienne, tous les peuples ont mélangé paisiblement jusqu’à ce que les Anglais soient intervenu pour les séparer. Cependant, à l’époque des F-A, l’identité américaine était déjà bien formée : donc ce fait et les autres forces d’américanisation s’ont tourné tous les immigrés les uns contre les autres. Les F-A étaient seuls et en bas de la société entière.

La langue française dans les communautés franco-américains a été toujours étroitement liée avec l’église. Avec l’américanisation, l’arrêt des journaux français, et après la fermeture des écoles paroissiales, la langue F-A a subi une crise en entier. Les enfants ne voulaient plus apprendre cette langue qui leur rendait « Canuck ». Cependant, il y avait toujours les forces de protection : avec les écrivains, et les organisation comme le FAROG, et l’ActFANE. Aujourd’hui, c’est seulement dans le récent passé que l’identité franco-americaine n’est plus conçue comme « honteuse ». Il y a une renaissance de la langue, mais l’article suggère aussi que le lien autrefois nécessaire entre la langue et la culture n’existe plus : les Franco-Americains d’aujourd’hui affirme leur affiliation culturelle sans forcement la présence du français dans la maison.

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